C’est devenu une habitude, ce sont 29 participants qui près de la salle des fêtes sont regroupés pour une nouvelle rando annoncée par Serge très facile et légèrement vallonnée. Un peu de descente en goudron au départ dans le village, puis plein sud, le soleil dans les yeux nous partons rejoindre la route de Chantelle par un chemin déjà un peu gras. Maintenant un bon raidillon nous permet de tester l’adhérence de nos chaussures sur chemin bien gras. Un bon kilomètre de descente et nous partons en bonne montée sur Charroux.
Une petite pause et nous entamons son contournement jusqu’au cimetière point culminant du jour. C'est en descente facile que nous croisons la route à La Gare. Encore une petite grimpette et, contournant les Quatolicants nous redescendons jusqu’à la Conche. Il faut maintenant nous rediriger vers Ussel.
Après un changement de cap nous voici face à une belle montée bien rectiligne jusqu’aux Lambes. L'effort un peu moins soutenu devra se poursuivre jusqu’à Calendro. Un petit palier et il ne nous reste plus qu’à descendre sur Ussel. Après avoir bénéficié d'un beau coucher de soleil nous voici de retour aux voitures. La rando de 13km et 310m de dénivelée est terminée; elle nous a offert de très beaux points de vue sous un ciel idéal pour la saison.
Pour nous remettre de nos efforts bien qu’aucun anniversaire ne soit à fêter, nous nous installons pour déguster le traditionnel vin chaud de Brigitte. Toujours aussi bon il est particulièrement bien venu car il fait environ 2° et la nuit approche. Bien sûr il est accompagné de nombreuses friandises confectionnées pour l'occasion par quelques pâtissières et de bonnes papillotes.
Cette fois il fait nuit, il nous faut tout ranger et rejoindre Vendat.
Au bord du Sichon à Ferrières, une petite pluie accompagne ce matin les 18 présents au café-gâteaux. Rien de grave puisque nous passons devant le château au sec avant de reprendre une petite ondée en montant aux Ollières. Ce sera comme ça une grande partie de la matinée: cela s'appelle "rares averses" en météo. Daniel nous emmène sur le GR de pays rejoindre Cheval Rigon. Nous poursuivons la descente sur Le Moulin d’Aiguillon et remontons sur Guerrier. Profitant d'un bon chemin nous descendons longer la Vareille et remontons à Demon avant de poursuivre la côte jusqu’au sommet près du Rez de Montauban.
Il se met alors à pleuvoir assez abondamment pour que Daniel nous invite à prendre tous les raccourcis pour nous rapprocher du resto. Quand nous arrivons à La Rosée du Matin, nous sommes trempés et c’est avec plaisir que, accueillis chaleureusement, nous découvrons une splendide salle qui n’attend que nous et 5 autres convives venus nous rejoindre pour cette tant attendue tête de veau.
Nous ne serons pas déçus et malgré les airs d’accordéon joués par le patron nous devons reprendre notre rando (il est 14h45) histoire de terminer avant la nuit. La pluie ayant cessé, abandonnant le trajet prévu il est décidé de profiter de l’accalmie pour rentrer par le chemin le plus court. Notons que 2 des 5 convives nous font le plaisir de nous accompagner cet après midi.
Passant Le Effayes, Boucher, Orléans et Basse Roche, nous contournons le château de Chappes et l’Arborétum puis rejoignons Ferrière. Il était temps puisque quelques gouttes nous accompagnent alors que nous terminons le café du matin.
Nous garderons en mémoire les 16 km et 580 m de dénivelée de cette belle rando à laquelle il n'a manqué que quelques rayons de soleil pour profiter de la splendeur des paysages d'automne sur la montagne bourbonnaise, Le repas fut un régal dans un cadre et une ambiance exceptionnel.
Toujours la même météo incertaine d’automne, mais Gilbert et son parapluie porte-bonheur permet aux 27 participants du jour de partir sans appréhension pour cette randonnée au départ du champ de foire de Gannat. Tout commence paisiblement en ville puis le long de l’Andelot que nous longeons jusqu’au Moulin du Pré, puis un petit sentier montant nous permet d’atteindre (à l'abri du vent) la chapelle Ste Procule.
Nous traversons à guet un petit ruisseau en profitons pour un petit regroupement et attaquons la côte promise qui va nous essouffler jusqu’à La Folie. Après une petite pause nous repartons sur le plateau bien aéré jusqu'à Brezillat sommet du jour (497m) En quête d'oxygène nous redescendons sur le Champialou puis traversons l’Andelot à St Priest d’Andelot. Nos animateurs repèrent à ce lieu un bel endroit pour un éventuel pique-nique au bord de l'eau. Petit coup d’œil à une jolie chapelle et une petite côte (non signalée au programme) nous amène à un beau point de vue circulaire sur toute la région. Le ciel lumineux nous permet d’en profiter pleinement.
La plaine de Gannat s’offre maintenant à notre vue et, passant non loin des fours à Chaux, nous profitons d’une légère descente pour fondre sur notre point de retour. Serge nous a bien guidé sur cette rando de 13km et 300 m de dénivelée nous sommes comme prévu arrivé avant la nuit à nos voitures.
Nous sommes juste repartis quand une petite pluie vient agrémenter les pare-brises et un coup d’œil dans le rétro nous permet de voir que nous avons échappé de justesse à une bonne averse qui arrose Gannat. Bravo Gilbert et son parapluie!
Le café gâteau est pris sans pluie contrairement à octobre 2017 ou la météo nous avait été moins favorable. A 8h45, le chien guide local est prêt comme les 20 marcheurs du jour, la troupe commence son périple par une légère descente sur l’étang du Champet. Nous apprécions les quelques rayons de soleil qui mettent en valeur les premières couleurs d’automne. Passé l’étang, Jean nous invite à chausser les bâtons car passant Pion et la Rama c’est bel et bien le foyer de ski de fond du Montoncel qui est notre objectif et son point le plus haut du jour de 972 m.
Maintenant c’est 3km de descente plus ou moins dure mais sur un chemin fort agréable qui nous permettent d’atteindre le viaduc des Peux qui surplombe la Besbre que nous avons précédemment croisée aux Grandes Narces. Ce chemin a permis à quelques amateurs une belle cueillette de champignons. D’ici nous pouvons voir le joli bassin de décantation de l’ancienne mine d’uranium (au fond duquel reposent 1 million de tonnes de matériaux radioactifs) et un beau paysage aux couleurs de saison. Nous poursuivons jusqu’au col de Beaulouis qui nous ramène dans l'Allier puis, passé les Pouzerattes, nous descendons franchir la goutte éponyme et remontons sur Massonnet. Au pied du Rocher St Vincent, nous reprenons la direction de Lavoine. Ce n’est que partie remise, Rocher St Vincent, nous promettons de revenir.
Vers 12h30 nous en avons terminé avec les 12 km et 390 m de dénivelée de ce beau parcours sans une goutte de pluie. Notre chien guide est rentré dans ses foyers et nous nous installons à l'auberge des bois noirs. Les 52 grands, moyens et petits randonneurs (ou non) vont une nouvelle fois démontrer leur aptitude à venir à bout d’un bon menu bourbonnais dans la bonne humeur.
La méteo est incertaine, mais nous démarrons haut les cœurs de Vendat à 7h.
Tout va bien jusqu’au environs de Montaigut où nous essuyons une bonne averse : le moral baisse un peu. Mais nous avons la chance avec nous car ce sera la seule averse de la journée. Arrivés à Charassat le café gâteaux dégusté, voici les 17 courageux qui s’élancent pour une dure journée. Un peu de plat et nous attaquons la descente sur St Pardoux par un chemin très mal pavé, heureusement qu’il ne pleut pas. La remontée sur Le Monteil est bien pentue, mais la route est bonne, ça passe mieux. Après Le Mont c’est reparti comme au début il faut regarder où l’on pose les pieds et cela jusqu’au ruisseau La Tartasse. Ensuite après un ruisseau ….remontée jusqu’à Contamine. A partir de là, les montées et descentes seront moins longues mais encore nombreuses. Passé Les Mégnaux, nous apercevons Marcillat notre lieu de repas, mais la dernière petite montée bien raide pour l’atteindre nous met en appétit. Une marcheuse supplémentaire nous a rejoint au restaurant et ce sont donc 18 convives qui vont profiter d’un repas tout à fait correct dans une ambiance fort sympathique. Nous repartons heureusement par un peu de plat, car après le repas, les jambes ont un peu de mal à reprendre leur vivacité du matin. Encore trois franchissements du Bouron au programme de cet après midi avec son lot de descentes et remontées quand même plus faciles que celles du matin.
Il est un peu plus de 16h quand nous rejoignons les voitures après avoir presque facilement effectué les 19 km et 610 m de dénivelée du circuit proposé par Serge. Un petit moment de détente et nous repartons sur Vendat. Pour l’anecdote : quelques gouttes de pluie sont venues mouiller le pare-brise peu après le départ.
Parmi les 17 participants de ce jour il y a des marcheurs qui n’avaient pas participé à cette sortie en juin 2018 et des redoublants (mais fiers de l'être) Aujourd'hui le beau temps est avec nous et le vent faible nous promet une belle journée. La première partie du parcours est une succession de montées et de descentes en terrain parfois assez difficile qui nous permet de rejoindre le sentier de découverte qui débouche à découvert sur la vallée de Chaudefour, la Dent de la Rancune et la Crête de Coq. Petit temps pour admirer ce beau paysage et quelques grimpeurs, puis nous attaquons les choses sérieuses, car nous sommes à 1250m et nos mémoires scolaires nous le rappellent : Puy de Sancy 1886 m. Le programme est simple il faut grimper, tout d’abord dans les bois avec des racines puis à découvert avec des cailloux.
Nous contournons le puy Champgourdeix et vers 12h30, la pause déjeuner est proposée, vivement acceptée et bien appréciée. Un peu avant le puy de la Perdrix nous rejoignons le chemin du téléphérique de Super Besse familles et petits mollets sont venus en nombre profiter de ce beau site. Nous poursuivons jusqu’au col de la Cabane. Une petite partie d'entre nous décide de faire l'impasse sur le sommet, tandis que les autres, fendant la foule, gravissent le sommet négligé l'an passé (pas 2 fois de suite). Photo souvenir groupée impossible tant il y a de monde.
Empruntant les escaliers de bois pour redescendre sur le Pas de la Grange, nous poursuivons par le Pic Intermédiaire, le Puy de Cacadogne et le Puy des Crebasses où nous attendent les un peu moins courageux. Un petit au revoir à la vallée de Chaudefour et nous attaquons la longue descente bien casse pattes. Il fallait s’y attendre, mais 600m de dénivelée d’un coup c’est dur pour nos vieux mollets. Nous sommes donc ravis de retrouver les voitures au Chambon des Neiges.
La place de la mairie de Menat est ombragée, parfait pour les voitures et le café-gâteaux. Les 13 marcheurs du jour (ou presque) partent donc frais et dispos. Seulement ½ km de descente d'échauffement avant d'attaquer une sérieuse montée à découvert (160 m). L’entrée dans le bois de la Faye est la bienvenue, de même que la descente sur le ruisseau (à sec) de la Faye.
Une bonne montée nous fait passer aux Querriaux puis aux Deux Forts avant de redescendre traverser un nouveau ruisseau à sec et bien sûr remonter presque sans interruption jusqu'aux Pignons. Nous rencontrons un marcheur un peu d'un autre âge avec âne, chien et bâton de voyageur. Encore un petit effort pour atteindre le plus haut du jour (616 m). Le paysage est magnifique et nous voyons le Puy de Dôme sous un angle inhabituel. Il ne nous reste plus qu’à descendre sur Servant, traverser le village joliment décoré pour une fête avant d’arriver au lac auprès duquel nous allons pique-niquer.
Nous attendons l’arrivée de nos 4 marcheuses de l’après-midi pour tranquillement nous restaurer. Il est 13h lorsque, bravant le soleil bien présent, les 17 courageux partent à l’assaut de la fin du parcours. Nous descendons d’abord sur Fontabourgnon et remontons sur chez Carados après un nouveau franchissement de ruisseau asséché. Maintenant, à part une petite remontée sur Lachaux, nous n’avons plus qu'à descendre sur Château Gaillard puis Menat.
Serge nous offre même un petit raccourci dans les bois, petits veinards que nous sommes. Nous retrouvons les voitures avec plaisir car les 19 km et 600 m de dénivelée sous une bonne température nous ont bien « désénervées ». Quelques boissons rafraîchissantes soigneusement conservées au frais et nous voici sur le retour à Vendat.
La voici enfin à portée de bâtons, cette tant promise rando de St Pierre.
Un temps splendide avec toutefois une bonne bise bien rafraîchissante accueille les 18 marcheurs du jour. Une petite descente afin de se mettre en jambes et nous attaquons la première des 3 montées, promises par Serge.
La récompense est à la hauteur des efforts: un paysage splendide tout en diverses nuances de vert, c'est le printemps. Divers mal plats nous amènent à la Croix Morandin avant de nous offrir une belle descente jusqu’à Gouttelange. A nous maintenant la deuxième montée dans les Grands Bois un peu dérangés par les forestiers. Elle est sévère celle-ci et longue (2km) . Une légère descente et nous voici arrivés à Papon avec une vue sur l'autre versant de la colline.
Une nouvelle grimpette nous fait surplomber Fayet puis après un petit repos nous remontons sur le Bois Fayet point haut du jour 590 m. Maintenant s’offre à nos jambes éprouvées une très longue descente, dans le bois et à l’abri du vent. Elle nous ramène à Gouttelange, vous vous rappelez, le bas de la belle descente : et bien maintenant il faut la remonter et presque en fin de parcours, elle calme les dernières ardeurs. Il nous reste à redescendre sur La Montée puis la voie ferrée que nous traversons avant de longer un bel étang et remonter sur St Pierre.
Nous nous sommes régalés sur ce beau parcours de presque 14 km et 510 m de dénivelée, le parcours le plus exigeant de cette année à part Olmet.
Après plusieurs projets annulés pour cause de météo, nous voici enfin au Puy St Ambroise par un temps froid mais beau. 17 marcheurs, après le café-gâteaux traditionnel partent d’un bon pas pour se réchauffer. Première pause après…...200m c'est peu, mais amplement justifié: une vue panoramique splendide avec table d’orientation s’offre à nous il faut en profiter.
Sur les pas de Jean, nous débutons les choses sérieuses par une bonne descente douce qui passant par les Georges, va nous amener au Moulin des Vetets. Nous avons atteint la plaine, et d’un bon pas nous passons les Loges Bouthiers, puis le Domaine Neuf avec en vue le bois de la Varenne dans lequel nous faisons une petite incursion avant d’atteindre le beau château éponyme. Après avoir franchi le ruisseau le Balinet à la Roche, nous poursuivons sur les Déchiffres. Un peu plus tard nos regards sont attirés par un gros oiseau dans un pré. Après observation fine, il est loin le bougre, il faut se rendre à l’évidence c’est une cigogne.
Ce beau moment passé nous apercevons au loin, mais surtout en hauteur le puy St Ambroise lieu du pique-nique, fini la plaine à nous la montée finale. Après Gros Loup, 2 km plus loin et 100 m plus haut et non sans avoir à nouveau profité du panorama nous voici de retour au parking. Nous avons fait 14 petits km et 250m de dénivelée sans problème par un temps idéal et retrouvons les copains de la moyenne marche bien installés sur les belles tables du site. Nous prenons place également et sommes bien contents d’apprécier nos pique-niques ainsi que quelques friandises gentiment offertes à la cantonade par de généreuses pâtissières
Un peu frais, ce matin, à Olmet 5°. Les 23 participants apprécient le café-gâteaux, il ne reste rien lorsque la troupe démarre. Le programme est simple, montée à peu près régulière jusqu’au Grun du Mouton 825 m point plus haut de la journée à 3,km d’Olmet. Notons quand même qu’à mi-parcours nous avons dégusté une petite pente à 24%, mais aussi quelques vues splendides lors des passages non boisés. Ceci étant fait, une agréable descente nous conduit au château, en cours de restauration, de la Faye. Nous sommes maintenant confrontés à une très forte descente en direction du ruisseau de la Faye. Attention aux galets et autres branches au sol et à hauteur du visage ! Tout le monde ayant réussi le passage, nous poursuivons en petite montée sur Solasset puis glissons gentiment sur Malaleuge avant d'atteindre le Moulin du Clos. Une remontée jusqu’à la grosse scierie et nous voici sur le plateau avec Augerolle en point de mire. A midi comme prévu par Serge, le restaurant nous accueille pour un repas réconfortant qui se termine par un gros gâteau d’anniversaire inattendu pour Chantal.
En pleine forme mais un peu lourds, nous repartons sur le ruisseau de la Faye donc en descente. Le ciel est un peu menaçant, sur notre gauche nous pouvons admirer le site de Pierre sur Haute bien enneigé. Nous rejoignons l’élevage piscicole de Montnebout puis une petite montée nous amène à la Côte avant de rejoindre Giroux. Montée régulière jusqu’ au Planat où nous rejoint une faible pluie. Nous nous équipons un peu et repartons d’un bon pas, mais pas pour longtemps puisque nous sommes confrontés rapidement à une pente raide qui sur 800m et 90m de dénivelée, sans un petit répit, va faire regretter à plusieurs d’avoir repris des pâtes ou du dessert. Au bout de cet effort nous retrouvons Olmet et son église. C’en est terminé de cette très belle sortie de 17 km et 690m de dénivelée. Encore une très belle rando un peu musclée, certes, mais toujours dans une ambiance plus qu'agréable sans oublier le petit temps fort de la fin de repas.
Toujours aussi beau temps, mais toujours du vent du nord, malgré les 13°, il va falloir fermer les blousons en terrain découvert.
Le circuit débutant par une belle montée en sous-bois, les 23 participants sont vite en forme. Après ce premier effort, Jean Louis nous offre une vue dominante sur Ris avant de descendre sur la cascade du Saut du Loup, pas tout à fait à sec mais guère plus. Maintenant au programme : 4 km de montée ininterrompue pour 200m de dénivelée, mais sur du bon chemin bien sec, il faut juste pousser sur les bâtons. La première pause à Bardonnet sera suivie de plusieurs afin de laisser souffler nos vieux, mais toujours vaillants moteurs. Le parcours, dessiné dans les bois, nous met presque toujours à l’abri du vent.
Nous finissons par arriver à la Croix de Ris le sommet du jour 563m. Maintenant à nous la descente. Bien sûr nous n’échappons pas à une dernière montée sur la Coutière histoire de ne pas rompre les traditions. La descente est parfois assez dure, il convient de veiller à ne pas glisser sur les pommes de pin et autres cailloux parfois ravis de nous faire des farces.
Nous poursuivons sur chez Piotte et nous ne tardons pas à sortir de la forêt de Ris. Nous sommes maintenant bien rafraîchis par la bise et nous fonçons sur Taurin. Le parking est en vue, nous avons terminé les 12 km et 430 m de dénivelée de cette belle rando.
Mi-mars c’est la pleine saison des jonquilles et Daniel a donc choisi un joli parcours au départ du Vernet qui nous fera passer vers la fin du trajet dans un endroit bien fourni.
Mais attention les 37 participants du jour, vous êtes prévenus, il y a certes à peine 12 km mais quand même 410 m de dénivelée.
Nous commençons par un peu de route jusqu’aux Charmes avant de descendre, par un bon chemin, franchir un petit affluent du Sichon. Nous attaquons alors une jolie montée d'abord en sentier puis en bon chemin puis en route qui va nous amuser sur 1,5 km et 150m de dénivelée. La récompense est au bout de l'effort : une vue splendide et dégagée sur le Puy de Dôme et le Sancy. Un petit tour dans le Bois Dieu nous occasionne encore quelques montées et descentes avant d’atteindre le point culminant du jour 514m. Nous n’avons plus qu’à nous laisser descendre passant les Baillons puis les Séjournins jusqu’au ruisseau des Fonds de Fer.
Nous le traversons pour nous offrir une petite remontée et bénéficier d’un beau point de vue sur le château des Chaussins avant de redescendre sur le but du jour les jonquilles. La cueillette est fructueuse et il en reste encore beaucoup quand nous levons le camp. Maintenant c'est terminé, plus de côte, il ne nous reste plus qu’à rejoindre les voitures et c’en est terminé pour la rando.
Arriver à Montaiguët par la belle porte du 15éme a toujours quelque chose de particulier : nous quittons le Bourbonnais pour pénétrer dans le Forez. Ceci ne nous perturbe toutefois pas trop et nous trouvons facilement le point de ralliement situé à proximité du restaurant Le Bourgogne (c’est fou ce que l’on voyage aujourd’hui) qui va nous recevoir pour le déjeuner. Le ciel est simplement tout bleu et les 5° sont bien supportables à l’abri du vent. 26 marcheurs vont profiter des 13 km et 270 m de dénivelée proposés par Serge.
Nous commençons par descendre sur le Groule avant de venir longer le bel étang du Moulin. Une gentille montée nous amène aux Caves pour une petite pause avant de nous diriger sur la Franchise et redescendre sur le ruisseau du Burgaud en évitant l’Afrique, qui ici côtoie l'Amérique, avant d’attaquer la montée sur St Cloud puis Lafont.
Le vent se fait sentir et les blousons se ferment sur le plateau bien découvert jusqu’à chez Moulin. Petite descente sur Civette et devant nous presque 3 km de montée nous attendent pour rejoindre, non loin de chez Paillet, le point le plus haut 448m. Maintenant il ne nous reste plus qu’à nous laisser descendre doucement sur le Transval puis le Tonkin avant d’apercevoir le beau château du XVème, franchir la porte de Montaiguët et rejoindre les voitures.
Belle rando bien vallonnée, beau temps avec des noms de hameaux originaux et lointains dont personne n'a pu nous donner l'origine. Heureux d’avoir participé à cette nouvelle sortie, nous repartons sur Vendat.
Et ça continue, pour le plus grand plaisir des 16 participants à cette première moltogomme 2019, il fait un temps splendide. Le café-gâteaux dégusté nous voici, suivant Serge, à la découverte hivernale de ce parcours en bocage bourbonnais. Un petit crochet jusqu’au château de Rochefort et nous partons sur le Pressoir Ban non sans avoir admiré au loin le château de Ritz. Notre but est maintenant la forêt de Moladier que nous atteindrons après avoir traversé le ruisseau des Veines et passé les Longeais. Le chemin fort agréable devient assez boueux dans le bois, c’est la saison ! A la sortie de la forêt nous trouvons une grande sculpture rappelant que nous sommes sur le chemin de St Jacques. Le soleil commence maintenant à bien nous réchauffer et c’est en pleine forme que nous contournons le château des Ramillons. Un petit essai de la pompe des Casernes et nous voici au moulin Chéreux. Il faut maintenant remonter jusqu'à l'étang de la Bruyère où nous trouvons une deuxième sculpture du chemin de St Jacques. Il nous reste à traverser quelques vignes et nous voici arrivés à Chemilly et plus précisément au restaurant le Plaisir des Sens. Nous allons partager un excellent repas avec les deux marcheuses venues nous rejoindre pour nous accompagner l’après-midi.
Un peu lourds certes, mais heureux de profiter de cette belle journée, nous repartons profiter d’une bonne montée sur la Croix d'Or. Un passage à Cul de Sac (qui heureusement n'en est pas un) et nous redescendons sur Chassignolles. Nous croisons quelques randonneurs de Moulins venus eux aussi profiter de cette belle journée. Le plus dur est fait puisque passé Monpertuis nous sommes presque arrivés au parking. Pas d’anniversaire et heureusement car, à cause du repas ou des 21 km et 280 m de dénivelée, nous sommes assez contents de pouvoir retrouver le confort de nos voitures pour revenir sur Vendat.
Cette année, Daniel nous a une nouvelle fois organisé une sortie raquettes. C’est à nouveau la région de Besse qui est retenue avec Jean Luc pour accompagnateur, comme l’an passé. Il y a un peu de route et c'est donc de nuit que le départ se fait de Vendat, quelle dure vie que celle des tamalous ! Après un petit regroupement à Besse nous arrivons à l’heure prévue au domaine de Chaptuyzat, avec un rayon de soleil, pour le café-gâteaux toujours aussi abondant. Le temps pour les 24 participants de prendre possession des raquettes, de les chausser et nous partons en sous-bois sur les traces du guide. Arrivant sur une clôture de barbelés. Jean Luc nous rappelle la technique de franchissement, allant même cette année jusqu’à fournir une protection au cas où ! C’est qu’il y a des endroits fragiles! Nous sommes maintenant à découvert et bénéficions régulièrement de conseils de progression, de renseignements géographiques et géologiques de la part de notre guide. Quelques flocons nous rappellent que nous sommes en février, mais après cette courte alerte, nous allons bénéficier d’un temps clément et de beaux paysages. Nous n’aurons pas cette année cette longue pente abrupte qui l’an passé nous a valu tant de chutes et de fou-rires, mais un retour dans les sous-bois a bien permis à certains de goûter aux difficultés que l’on a pour se relever raquettes aux pieds. Une petite bataille de boules de neige, quelques pas encore et nous voici de retour à la base. Ca fait du bien de retrouver une marche normale sans raquettes. Nous rendons ces instruments et repartons de suite pour le restaurant où nous attend un excellent repas bien au chaud sur le bord du lac Pavin.
Pour le retour certains font le plein de spécialités gastronomiques locales tandis que d’autres rentrent directement à Vendat.
La météo annonce de la neige pour 15 h mais cela n'atteint pas les 35 participants qui se rejoignent à la salle de sport pour suivre Bernard sur les presque 12 km du circuit avec 150m de dénivelée.
La joyeuse troupe quitte le parking pile à 13h 45 comme prévu et nous attaquons le circuit dans le sens inverse de 2017.
Pas de neige et une marche facile, sur un bon chemin pas trop boueux, nous amène au ruisseau le Coursac que nous longeons et traversons à Laborie. Un petit effort plus loin, nous arrivons au Grand Chemin. Devant nous une bonne montée, la seule sérieuse du jour, nous attend pour rejoindre Les Gilberts.
Une bonne pose de regroupement et nous nous dirigeons vers le bois Brun puis le bois Raigner. Le chemin est en si légère montée que nos mollets aguerris ne s’en aperçoivent même pas. Nous voici quand même arrivés au point haut du jour qui est aussi celui à partir duquel nous reprenons la direction de St Priest. Un bonheur n’arrivant jamais seul, nous sommes rejoints par un groupe de jeunes cavaliers que nous prenons le temps de saluer non cavalièrement.
Nous entamons donc le retour dans le bois lorsque, presque à l'heure annoncée, quelques flocons commencent à tomber. Quelques capuches entrent en service et c’est une bonne idée car rapidement c'est à une bonne chute de neige que nous sommes confrontés. Le but est proche, le pas s’accélère et voici St Priest en vue à la sortie de la forêt.
Nous changeons de chaussures (même pas sales) sous les flocons. Aujourd’hui les adieux sont rapides mais non moins chaleureux.
Ca y est l’année 2019 est là et nous reprenons le cours de nos randos habituelles. Notre petit groupe de 30 marcheurs, s’attaque aujourd'hui au parcours des Justices au départ du Chambon à Cusset.
Vaillamment, sur les traces de Marie Noëlle, nous partons à l'assaut des grands escaliers qui surplombent le Sichon. Ce n'est pas insurmontable, mais à froid dès le départ, ça calme. Un petit plat et nous voici à nouveau en montée sur un sentier en sous-bois glissant à souhait. Arrivés au niveau de la Loue, la côte est terminée, un petit repos et nous voici repartis sur le chemin bien boueux qui nous amène à Barantan. Petite et brève montée dans le hameau et nous nous laissons glisser (ça arrive de temps à autres) jusqu’au Godets. Nouveau regroupement et nous poursuivons en descente jusqu’à un petit affluent du Sichon que nous suivons jusqu’aux Grivats.
Devant nous maintenant une montée de 180 m sur 1,5 km nous attend. Chacun à son rythme parviendra au sommet ravi d’apercevoir le pylône qui annonce la fin de l’effort. Un peu de file indienne sur la route fréquentée de Molles et il nous reste à redescendre doucement sur Cusset. Un peu de rando urbaine nous ramène au parking après avoir parcouru 10 km et 310 m de dénivelée.
La récompense du jour nous attend (ou plus exactement nous l’attendons) car deux participants fêtent leur anniversaire. Je me demande si Rabelais ne s’est pas inspiré de nos goûters pour écrire Gargantua. Malgré notre bonne volonté, nous ne finirons pas le festin, mais pourtant qu’est ce que c'était bon et agréable.
La tradition veut que l’on attaque l'année par une petite rando afin de partager ensuite la galette avec les membres des autres activités.
Nous respectons donc cette belle habitude en suivant Bernard sur un parcours local de 11 m et 130m de dénivelée.
31 marcheurs, parapluie et capes à portée de main traversent donc le village en direction des Martoullets. Il ne fait pas trop froid, mais une légère pluie fait s’épanouir quelques parapluies alors que nous attaquons la côte du Bouchereaud. Rapidement ce petit grain cesse et après avoir traversé le Servagnon, nous rejoignons Le Tanneur avant d’attaquer la montée un peu dure mais pas trop longue sur la tour de Rollat. Une petite pause pour boire et souffler, une nouvelle et brève ouverture de parapluies et nous voici traversant prudemment la route de St Didier pour nous enfoncer dans la Forêt Blanche.
Maintenant, nous sommes tranquilles plus de côte d’ici le retour. Les conversations vont bon train alors que nous traversons les Joncs, puis le Chambon. Après Vallières nous passons sous la voie de chemin de fer pour rejoindre Gravière. Nouveau passage sous le rail et nous voici en vue du clocher de St Rémy. Peut être certains ont-ils senti l'odeur de la galette, toujours est-il que c'est d'un bon pas que nous nous dirigeons maintenant vers le centre socio-culturel. Une nouvelle traversée du Servagnon, (que certains utilisent comme pédiluve) plus tard, nous sommes arrivés au parking. Changement de chaussures et nous voici dans la salle où les organisateurs ont dressé une jolie table garnie de boissons et de belles galettes. Nous y retrouvons les participants aux autres activités. Quelques échanges de vœux plus tard nous pouvons enfin déguster les fameuses galettes de Maître Serge. Les discussions vont bon train, les galettes fondent à vue d’œil, les bouteilles se vident, il est temps de nous quitter.
Merci à ceux qui ont organisé cette petite fête fort sympathique.