Ce matin place de l’église, 2 ou 3 degrés et un bon petit brouillard.
La vue est cependant largement suffisante pour que nous puissions apprécier le café-gâteaux matinal et avec bonne humeur, en plus.
20 randonneurs quittent Isserpent par chez Mandot, chez Fournier, les Quatre Chemins et sa grosse scierie avant une petite montée sur Chivat.
Nous rencontrons trois gentils lamas que seul Jean osera approcher ; c’est qu’il a mauvaise réputation, le lama, depuis sa rencontre avec le capitaine Haddock.
Nous ne tardons pas à faire une pause en compagnie d’un gentil chien qui à travers la clôture de sa maison recevra maintes caresses et bouts de brioche. Ayant nous aussi bien dégusté la brioche, nous repartons sur les pas de Daniel en direction du Bois Raymond pour redescendre sur un petit ruisseau et entreprendre une belle côte qui nous amène au point culminant du jour : 462 m.
Nous traversons Châteauroux (sans embouteillage) et rejoignons un bel étang de pêche….totalement asséché. Un petit tour au château de Beauplan et nous ne tardons pas à apercevoir à nouveau Isserpent un peu moins embrumé qu’au départ, mais ce n’est qu’après avoir traversé le Mourgon et donc descente et remontée que nous atteignons les voitures. Sans ce temps brumeux, nous aurions profité un peu mieux du paysage, mais sans la pluie du mois passé à Lavoine, nous sommes déjà bien contents.
Il est temps de rejoindre nos moyens marcheurs et promeneurs qui nous attendent au restaurant épicerie du village qui ne doit pas tous les jours accueillir 53 convives. La salle est bien pleine, les assiettes et verres se vident dans la bonne humeur qui convient à un tel rassemblement.
Merci à nos accompagnateurs de nous offrir de tels moments.
Dernière rando d’octobre, il fait encore un temps splendide un peu frais mais peu de vent et les 21 participants du jour ne s’en plaignent toujours pas.
Dès le départ nous apercevons au loin le point d’orgue de la journée : la butte de Montgacon et bien sûr Jean ne nous y emmène pas directement. Nous passons devant le château de Murol (pas le plus célèbre) et un beau pigeonnier avant de longer l’Allier puis la Morge au point de confluence. Cette dernière traversée, nous nous dirigeons sur Sanat (même pas malade) puis c’est Vensat qui accueille nos pas. Nous y trouvons un nouveau pigeonnier, celui-ci a certainement été beau, mais c’était avant. Nous voici bientôt au pied de la butte surmontée de la statue de Notre Dame des Moissons. Une petite centaine de mètres de dénivelée et nous voici au pied de l’édifice. Une vue panoramique sur la plaine et les montagnes environnantes avec une visibilité parfaite nous permet de nous régaler les yeux pendant la pause.
Longeant le Bellon nous nous dirigeons sur Villeret et son église dont la cloche est sur le toit à l’opposé du clocher et rejoignons les voitures. Les 11km et 150m de dénivelée ont réjoui tout le monde.
Mais l’aventure ne s’arrête pas là puisqu’ aujourd’hui trois randonneurs arrosent leur anniversaire. La table avec nappe est dressée, les victuailles et boissons servies il ne reste plus qu’à déguster. Cela va se faire tranquillement, toutes les nombreuses gourmandises vont finalement disparaître. Il ne nous reste plus qu’à renter avant la nuit qui maintenant arrive vite.
Le ciel est bien un peu couvert, mais les 16 participants du jour sont quand même bien contents de ne pas avoir à porter capes ou parapluie. Avouons-le, le temps est parfait pour la rando.
Passé la splendide porte du village et après un coup d’œil sur le château, plusieurs panneaux indicateurs nous troublent un peu : Madagascar, Le Tonkin, Transval, n’y aurait-il pas erreur ? Mais non, les jolis chevaux que nous rencontrons ont l’air bien de chez nous. Une petite pause à Civette et nous repartons sur Les Plans
Passé Lafont, nous nous éloignons de Montaiguët qui est pourtant face à nous mis en valeur par un pâle rayon de soleil pour passer à St Cloud puis côtoyer l’Afrique. Nous évitons aussi l’Amérique et empruntant un chemin joliment bordé d’arbres qui fût certainement une voie de tacot, et nous dirigeons sur l’étang du Moulin. Les avis sont unanimes : il serait bien pour un bon pique-nique (à retenir).
Nous voici sur la route (goudronnée) du Donjon que nous quittons rapidement pour Le Groule. En échange du goudron nous avons une bonne petite grimpette pour terminer ces 13 km et 280 m de dénivelée aux noms de hameaux étrangement exotiques avant de rejoindre notre point de départ.
Il fait encore bien nuit quand nous partons de Vendat, mais Charassat, ce n’est pas la porte à côté. Café gâteau dégustés, retardataires arrivés, il est 9h quand les 15 randonneurs du jour se lancent sur le circuit de 19 km et 610 m de dénivelée sélectionné par Serge.
Le temps est menaçant mais il en faut plus pour nous décourager. Un peu de plat et nous attaquons la descente sur St Pardoux par un chemin très mal pavé et couvert de feuilles, heureusement qu’il ne pleut pas. La remontée sur Le Monteil est bien pentue, mais la route est bonne, ça passe mieux. Passé Le Mont c’est reparti comme au début il faut regarder où l’on pose les pieds et cela jusqu’au ruisseau La Tartasse. Ensuite après un ruisseau ….remontée jusqu’à Contamine. A partir de là, les montées et descentes seront moins longues mais encore nombreuses. Passé Les Mégnaux, nous apercevons Marcillat notre lieu de repas, mais il faudra encore une bonne petite montée pour l’atteindre. J’allais oublier, tant nous n’y avons pas attaché d’importance, nous avons eu 10 minutes de petite bruine.
Le tant espéré repas est tout à fait correct et l’ambiance fort sympathique.
Il est 14 h quand nous repartons heureusement par un peu de plat, car après le repas, les jambes sont un peu molassonnes. Encore trois franchissements du Bouron au programme de cet après-midi avec son lot de descentes et remontées quand même plus faciles que celles du matin.
Il est 16h quand un peu fatigués, mais ravis de notre journée, nous rejoignons les voitures. Encore un petit moment ensemble pour se décontracter et il est temps de repartir sur Vendat non sans avoir sincèrement remercié Serge pour cette belle Rando.
Temps splendide et châtaignes au programme, qui peut demander mieux ? Pas grand monde à priori car nous sommes 37 au départ d’Arfeuilles. Il est vrai qu’en plus 2 anniversaires sont annoncés.
Daniel nous a concocté un circuit dont il a le secret de 11km et 420 m de dénivelée passant sous de nombreux châtaigniers.
Quittant le champ de foire, nous montons au stade et poursuivons notre effort jusqu’au sommet après la Croix Rouge. Petite pause et nous redescendons sur Raby puis Pont Morel où nous traversons le Barbenant puis le ruisseau de Morel.
Qui dit ruisseau dit…remontée, c’est ce qui nous attend pour rejoindre La Pendery. L’effort est récompensé par un paysage d’automne magnifique. Un sentier un peu plus plat nous amène au Cluzel puis Lareure. Les sacs commencent à se remplir de châtaignes et la moyenne baisse, mais aujourd’hui c’est permis.
Favier dépassé, une partie du groupe fait un petit détour pour monter au calvaire. Pas de regrets, le panorama est splendide, mis en valeur par une lumière exceptionnelle.
Il ne nous reste plus qu’à rejoindre Joubert et le reste du groupe qui s’affaire autour d’une table pour dresser le buffet sucré et salé à l’occasion des deux anniversaires du jour. Les châtaignes soigneusement rangées dans les coffres nous les rejoignons avec plaisir pour faire honneur à nos « vieux » du jour. Souhaitons que nous puissions fêter encore de très nombreux anniversaires ensemble dans cette bonne humeur.
Pas de pluie au programme ni de chaleur, un temps idéal pour les 19 participants du jour à la rando proposée par Daniel.
Petit café-gâteaux servi sur table et nous pouvons partir doucement longeant le Sichon en surplomb. Belle mise en jambes pour un secteur assez vallonné.
Puis les choses sérieuses commencent pour atteindre le Grand Cossange. Un petit effort encore et le Petit Cossange est atteint. La Croix Bernard sera bientôt sous nos pas mais après un bon effort. Nous empruntons maintenant le GR de Pays pour descendre à Liages. Petite pause de regroupement et poursuivant ce beau chemin, nous atteignons le point culminant de ce jour 588m.
Il ne nous reste plus qu’à descendre doucement sur Les Fours avant que la pente plus sévère nous ramène au niveau du Sichon au moulin Prard.
Suivant le ruisseau nous voici bientôt de retour au parking pour le pique-nique.
Nous en avons fini avec les 12 km et 410 m de dénivelée de cette belle rando.
Surprise (ou presque) Daniel et Jacqueline fêtent leur anniversaire par un apéritif somptueux. Chacun prend donc ensuite son repas avant que la fête recommence. Tartes et gâteaux divers vont nous régaler jusqu’à notre abandon.
Soyons tout de même fiers, avant de caler, nous avons quand même fait largement honneur aux gourmandises proposées.
Quelques blagounettes fusent de-ci de-là et voilà il faut bien lever le camp, si l’on veut se retrouver la semaine prochaine.
Pas de fraîcheur attendue ce jour et même 37° vers 16h.
C’est donc dès 8 h 30 que, café-gâteaux dégustés, les 15 marcheurs démarrent pour un circuit un peu plus court que d’habitude, 12 km et 340 m de dénivelée.
C’est sympa, au début une douce descente nous fait passer à Clavel et Montjournal avant d’arriver au moulin de Bussolles . Qui dit moulin dit ruisseau (ici le ruisseau de Maupas) et donc aussi remontée. C’est donc la première du jour qui va nous amener à la D990 que nous traversons (en râteau) pour, après un peu de plat, redescendre sur le pont romain qui enjambe l’Andan totalement à sec en cette période de sècheresse. Mêmes causes mêmes effets, après le ruisseau, même à sec il faut remonter, ce que nous faisons jusqu’aux Bruyères…avant de descendre au Godet pour retraverser l’Andan….et bien sûr remonter, cette fois jusqu’à Juin où une jolie maison à tour s’offre à nous. Encore un petit effort nous permet de rejoindre la D990 que nous retraversons. Les Penderies dépassées, nous redescendons à nouveau sur le Maupas et attaquons la dernière montée à mi-ombragée qui nous ramène aux Joyaux des Bois et par la même occasion aux voitures. Il est midi, et tout le monde est d’accord pour trouver cette rando un peu courte bien suffisante, car il fait environ 30° et le soleil est bien présent.
Nous reprenons les voitures pour deux trois kilomètres afin de nous rendre en un lieu qui nous fera bénéficier d’un peu d’ombre et d’herbe fraîche pour un pique-nique toujours aussi agréable. Pas de café cette fois, mais partage des restes de gâteaux du matin et il est temps de rentrer se mettre au frais dans nos maisons, il fait maintenant 34°.
Merci à Serge qui a su adapter cette rando au profil en dents de scie (et à grosses dents) afin que nous puissions en apprécier les beaux paysages sans trop souffrir de la chaleur
Les affaires reprennent ! Avec 14° ce matin, le café-gateaux est agréablement dégusté sur le parking de St Hilaire.
23 marcheurs suivent Jean Louis sur un beau parcours vallonné de 15 km et 520m de dénivelée.
Démarrage facile, mais rapidement le soleil réchauffe l’atmosphère et les randonneurs. Une montée ajoutée à cela et les petits pulls sont bien rangés dans les sacs lorsque nous atteignons Monteipdon. Malgré un ciel un peu brumeux, le paysage est splendide.
Une descente facile, nous amène au barrage de la Sep qui forme une retenue d’irrigation. Nous poursuivons jusqu’au pied de l’ouvrage avant de remonter sur La Tour Serviat ; petit coup d’œil sur le château et nous revoici en descente sur Montcel puis Le Pont de Montcel qui nous permet de franchir la Morge.
Il commence à faire bien chaud, les pauses boisson sont les bienvenues, mais il faut maintenant attaquer la remontée sur St Hilaire. Un peu d’ombre dans le bois des Côtes (le bien nommé) et nous voici en plein soleil. Encore un petit bois dans lequel nous franchissons le ruisseau des Rioux et il nous reste presque 2 km pour rejoindre les autos. A part le souffle des marcheurs en plein effort c’est silence (ou presque) dans les rangs. Nous passons les Bajaris dernier hameau avant l’arrivée.
Un petit kilomètre plus loin, nous rejoignons les voitures et nous précipitons sur un long muret sous les arbres de la place de la mairie pour savourer nos pique-niques . Deux gentils chiens viennent vérifier que rien ne reste dans nos assiettes et café pris, nous repartons sur Vendat bien contents de bénéficier de la clim des voitures, la température avoisinant maintenant 32°.
C’est la basse saison pour la rando. Nous nous retrouvons donc à 10 au départ d’Enval.
Tout commence par le café-gâteaux avant d’attaquer par un bon chemin les Gorges d’Enval, mais rapidement la marche devient plus sérieuse sur un sentier étroit et plein de racines, il faut regarder où l’on pose les pieds !. Ce petit moment passé nous arrivons à une table d’orientation et ne tardons pas à longer l’Ambène, la remontant jusqu’à une splendide cascade où nous faisons une pause .
Encore un petit effort et c’est Facemeunier que nous atteignons avant de nous diriger vers Douhady. Les chemins sont maintenant faciles et nous permettent d’admirer le paysage et sur notre droite le château de Chazeron.
Une petite pause cette fois au pied de l’église de Charbonnières les Varennes et nous partons vers le puy de St Priest sommet du jour. Nous avons bien souvent eu de belles vues sur la chaîne des puys mais cette fois, elle s’offre à nous sous un angle nouveau et splendide et nous en profitons pour prendre un petit en-cas, la route est encore longue. Arrivés près de Viallard nous pouvons admirer une des 7 œuvres monumentales de Thierry Courtadon artiste sculpteur de Volvic.
La descente sur le GR 441 bien mal pavée nécessite à nouveau toute notre attention, mais c’est sans encombre que nous atteignons le château de Tournoël. Il ne nous reste plus qu’à redescendre sur Enval par un beau sentier en sous-bois. Une dernière pause sur un joli pont bien restauré et nous ne tardons pas à rejoindre les voitures juste au moment où la pluie commence ; c’était juste ! Tout le monde en voiture pour se rendre aux sources de Volvic, lieu de notre pique-nique. Il ne pleut plus pour notre installation, mais le repas est un peu chamboulé par de nouvelles petites pluies. Il en faudrait bien plus pour que nous ne gardions pas un excellent souvenir de cette belle journée.
Merci Jean de nous avoir guidés sur les 16 km et 590 m de dénivelée de cette dernière moltogomme de la saison 2016-2017.
Temps mitigé prévu pour le matin, Marie Noëlle a donc reporté le départ à l’après-midi. Sage décision car les 16 participants vont bénéficier d’un temps idéal pour profiter de cette belle rando de 16 km et 450 m de dénivelée.
Il n’est pas tout à fait 14 h 30 quand nous démarrons en direction du Bois Mal que nous quittons juste avant la Gravière. Un petit coup d’œil sur le viaduc du Belon et nous descendons traverser ce petit cours d’eau.
Après une bonne grimpette, nous remontons sur Coutansouze . Une nouvelle descente en direction du viaduc de la Perrière et le chemin des amoureux nous permet de rejoindre un petit coin de pause près d’un lavoir qui nous a plusieurs fois accueillis pour le pique-nique.
Après les Niagnes nous retraversons le Belon presque à sec et après quelques hameaux nous finissons par apercevoir à nouveau le clocher de Louroux.
Une dernière montée (pour ne pas finir sur une mauvaise impression) et nous voici à l’église de Louroux qui, pour une fois ouverte, nous permet d’apprécier de beaux vitraux modernes.
Il est pratiquement 18 h 45 quand nous repartons pour Vendat
Voilà un après-midi bien rempli dans la bonne humeur habituelle
C’est le mois d’août, l’orage est annoncé pour le début d’après-midi, mais nous sommes quand même 15 au café-gâteaux sur la place de la mairie de Monestier.
C’est Jean qui a la charge de nous guider sur ce parcours de 11 km et 110m de dénivelée.
Une première partie du parcours à découvert, passant par le Champ Charret, nous permet d’atteindre la forêt de Monestier. Nous marchons agréablement dans ce sous bois jusqu’à Chantelle la Vieille et longeant la Bouble (presque à sec) nous arrivons au pont des Ouilles qui enjambe le Musant (totalement à sec). Ce joli pont rénové fin 2016 était un ouvrage de la voie romaine Cantillia-Vouroux (Chantelle la Vieille-Varennes sur Allier) Merci Jean. Traversée rapide du bois du Breuil en direction de Deneuille. Nous sommes dans la montée du parcours, presque 50m au total. Nous empruntons la route de Deneuille, bien rangés sur la gauche et nous bifurquons vers le nord en direction de la forêt de Giverzat. L’orage gronde derrière nous et le ciel devient franchement noir sur Chantelle. Nous atteignons la forêt au moment où la pluie arrive. Il faut sortir les capes, mais pas d’orage pour nous. Jean décide de raccourcir un peu le parcours et à la sortie du bois la pluie a cessé. Nous sommes de retour sur Monestier et après quelques petites dernières gouttes nous arrivons aux voitures.
Le temps restant serein nous décidons que le pique-nique à l’étang de Monestier aurait bien lieu.
C’est donc confortablement installés autour de 2 tables que nous passerons un bon moment ensemble pour clôturer cette très agréable rando (ou ça vigilance orange ?)
Le temps était annoncé assez incertain, mais nous sommes quand même 26 au café-gâteaux au stade de St Martin et c’est bien car finalement le ciel est encourageant. Il faut dire qu’après la rando nous sommes attendus pour manger les grenouilles à Vivans.
Nous commençons par une descente douce sur l’étang de Mauvernay avant de suivre Daniel vers La Montée (et c’est vrai, ça monte). Nous poursuivons jusque chez Goyard avant de rejoindre le château de la Fayolle. Après la traversée d’un petit ruisseau et de la D52 il nous faut à nouveau monter jusqu’à Valière. Une grande croix sert de repère pour changer de direction et aller profiter de l’ombre dans le bois de Jars, c’est qu’il fait bien chaud maintenant. La sortie du bois nous offre une belle vue sur la plaine roannaise et l’occasion d’attaquer la (presque) dernière montée jusqu’au Petit Jars. Nous passons la Croix Presles avant de remonter (un tout petit peu) jusqu’au parking du stade.
Une grosse partie du groupe va rejoindre les copains de la moyenne marche au relais de la borde pour en découdre avec les grenouilles tant attendues.
Une nouvelle fois nous sommes venus et nous avons vaincu ; les plats sont retournés vides en cuisine (après avoir bien entendu repris du rab). Les estomacs sont bien remplis et nous pouvons repartir tranquillement sur Vendat.
Ho là là quelle chaleur ! La météo annonce encore 34° et pas un nuage.
Serge a donc décidé de raccourcir notre parcours et a mis en garde ceux d’entre nous qui craignent la chaleur. Même pas 8 h 40 et 27 randonneurs prennent le départ du château de Chareil Cintrat direction la Bouble que nous traversons d’abord sur un pont puis retraversons sur une passerelle. Nous dégustons ce passage ombragé avant de nous diriger, sous le soleil encore supportable, sur Rosier. Bref moment de repos avant de repartir pour Les Grelettes sur un sentier bordé d’arbres puis Chassignet. Un peu de route et un chemin bordé de merisiers (Miam) nous amène au Grand Treux où Serge taille une petite bavette avec l’habitant.
Nous reprenons notre marche au soleil, vers les Trequins savourant chaque passage à l’ombre. Un petit regard au loin sur Fleuriel et nous voici en vue de Chareil, mais à l’entrée du village Serge nous offre un petit extra en direction de Blanzat, avant de revenir face à l’église de notre point d’arrivée. Quelques centaines de mètres encore et nous voici au lavoir, au château et au parking.
Nous avons fait 10 km et 170 m de dénivelée et sommes bien contents de profiter de l’ombre accueillante d’un grand arbre, car il fait maintenant environ 30°. Un petit apéro en commun et certains rentrent déjeuner chez eux alors que d’autres vont rester pique-niquer ensemble pour faire durer un peu plus ce moment de convivialité que nous attendons chaque semaine. Vers 12h30 tout est terminé
Maintenant devenu incontournable, c’est aujourd’hui le troisième rendez-vous annuel « rando repas » à la Chapelle. Plus tôt dans la saison que l’an passé où nous avions eu un peu frais, c’est avec un temps un peu couvert mais beau qu’après le café brioche nous suivons Jean sur un tracé vallonné de 13 km et 400 m de dénivelée.
24 participants à la rando, mais n’oublions pas les organisateurs qui restés à la cabane à Paul vont se dépenser au moins autant que nous. Une petite montée dans le bois de Debost et nous longeons un bel étang qui aurait pu être un bel endroit à pique-nique, mais, poursuivons sur les Jonchères. Doucement nous redescendons sur le Sichon aux Blondins avant une remontée sévère sur le Grand Cossange. Encore un petit effort pour rejoindre cette fois le Petit Cossange et nous descendons longer le Sichon avant de remonter plein soleil sur Les Dachez. Une petite pause à l’ombre (il fait maintenant environ 28°) et nous poursuivons dans les bois avant de redescendre une nouvelle fois sur le Sichon au Gué Chervais. Il ne nous reste plus qu’à remonter sur le stade de la Chapelle d’abord à l’ombre puis plein soleil.
Nos organisateurs ont comme à l’habitude parfaitement travaillé, tout est prêt, les tables sont dressées, petite et moyenne marche sont déjà installées. Il ne nous reste plus qu’à nous joindre à eux pour partager le bon repas qui nous attend.
Mme le maire de La Chapelle et un conseiller municipal nous font le plaisir de nous honorer de leur présence. Le repas se déroule dans une chaude ambiance tant humaine que climatique.
Repas terminé il est temps pour certains de partir ou d’aller jouer aux boules pour les autres.
La météo n’étant pas très favorable au pique-nique, Marie Noëlle a donc reporté le départ de la rando à 13 h 30.
Nous sommes 21 au départ de la place de Champs pour profiter des 13 km et 400 m de dénivelée qui vont nous permettre de profiter des beaux paysages vallonnés grâce à une bonne visibilité.
Légèrement couverts car le vent est assez frais, nous partons à bonne allure. Une douce montée pour la mise en chauffe et nous descendons longer le ruisseau du Pré du Moulin puis la Cigognel que nous traverserons (sur des petits ponts) deux fois. Vialleix est vite atteint, et quelques gouttes de pluie viennent juste nous inquiéter avant de laisser place à nouveau au temps sec. Même pas le temps de sortir les vêtements de pluie. Nous passons le hameau de La Motte puis remontons près de château Jaloux (on ne sait pas de qui ?).
Un peu de plat jusqu’à la Combe Martin et paisiblement mais sûrement nous poursuivons la montée jusqu’aux Brayards. Une petite pause qui nous permet d’admirer 2 jolis puits et nous n’avons plus qu’à nous laisser glisser en pente douce jusqu’aux voitures.
Il est presque 18 h lorsque deux de nos randonneuses s’affairent à la découpe des nombreuses et délicieuses pâtisseries qu’elles ont préparé pour nous régaler à l’occasion de leur anniversaire. Diverses boissons agréables ont accompagné ce moment fort sympathique et comme toujours, c’est un peu à regrets que nous nous séparons, mais pour se revoir, il faut bien se quitter n’est-ce pas ?
La météo n’est pas très optimiste pour ce jour et c’est donc armés de parapluies et K Way que les 23 participants se présentent à Artonne. Il fait pourtant bon et la pluie qui nous a accompagnés jusqu’à Aigueperse a cessé.
Un petit café avant le départ et nous partons en direction de St Myons que nous éviterons pour monter jusqu’à la Croix des Rameaux. Un petite pause pour admirer le paysage et nous poursuivons notre douce montée jusqu’à un bel arbre qui marque le sommet du jour : 523 m . Sur notre gauche nous apercevons le château de la Roche devant lequel nous avions fièrement posé au mois de mars. Nous sommes à découvert et le soleil, bien qu’un peu timide, s’étant allié à la côte, nous transpirons et une pause boisson est la bienvenue.
Nous descendons maintenant sur Glénat avant de rejoindre le coteau du Puy St Jean que nous traversons pour rejoindre Artonne. Un coup d’œil à un pigeonnier original , une visite de l’église et nous voici de retour aux voitures.
Les 11 km et 260 m de dénivelée nous ont ouvert l’appétit et bien répartis tout autour de la place nous les dégustons en laissant une petite place pour les friandises que deux d’entre nous vont offrir en l’honneur de leur anniversaire. En réalité il aurait fallu garder une grande place car un premier service de 5 parts de gâteaux (par personne) est de suite suivi par une autre distribution un peu moins organisée mais tout aussi abondante.
Il ne reste plus qu’à tout remballer et quitter les lieux et rentrer chez nous après ce bon moment passé en plein air entre copains.
Comme il l’avait été suggéré mardi, la rando du 19 mai a donc été reprogrammée ce jour. Cette fois la météo est plus que favorable. Le café gâteau est pris par les 15 participants avec 13° mais le ciel est bien bleu.
La côte du départ est bien conforme à ce qui a été annoncé par Jean Louis environ 300m de montée en 2 km, ça met en jambes, mais bien ombragée elle est bien passée. La suite est plus light avec sa succession habituelle de malplats.
Le soleil commence à se faire sentir et chaque point d’ombre est une invitation à une pause. Nous passons Le Prat, Lebre et rejoignons Le Bouchet avant d’entamer notre descente sur la Sioule. Magnifique sentier mais qui mérite notre vigilance, car étroit, pierreux, fortement pentu et bordé d’à-pic. C’est sûr, il ne fallait pas le faire par temps humide. Nous longeons la rivière jusqu’au barrage de Queuille, le traversons pour pique-niquer à l’ombre et c’est une bonne idée car il fait environ 30°. Repas et café terminés nous repartons le long de la Sioule, mais pas vraiment en descendant paisiblement comme elle, nous entamons une succession de petits lacets montants qui bien qu’à l’ombre sont un peu difficiles après le repas. Arrivés au Bas de Lacot, nous nous accordons une petite pause ombragée avant de repartir toujours à la queue leu leu sur ce sentier fort agréable jusqu’au pont de Chambon que nous empruntons pour passer sur la rive droite de la Sioule jusqu’à Lavaux. Nouvelle traversée et nous entrons dans Chateauneuf. Un petit verre à la terrasse ombragée d’un café est le bienvenu. Il fallait bien ça pour se remettre des 18 km et 770 m de dénivelée qui nous ont occupés toute la journée.
Encore quelques mètres et nous retrouvons nos voitures et quelques boissons fraîches qui nous attendent en glacières. Un peu de gâteau, un peu de chocolat (bien conservé au frais) et nous pouvons renter chez nous sans regret, Jean Louis nous a fait passer une excellente journée. Merci à lui ainsi qu’aux pâtissières et à Martine pour son bon café toujours bien chaud.
Mais que se passe-t-il ? 26° beau ciel avec quelques nuages pour faire beau et seulement 21 randonneurs au départ ! il est vrai que Daniel nous a promis une sortie un peu musclée.
Bouteilles et gourdes d’eau vérifiées nous attaquons notre périple par une montée ensoleillée vers Basse Roche puis la Gièze, ça transpire fort, les premières chaleurs sont dures. Un petit coup d’œil sur le château de Chappes et nous atteignons le bois du Fau et son ombre salvatrice. Une coupe de bois importante nous dégage une vue inhabituelle sur Ferrière. Suit encore un peu de soleil pour rejoindre Mounier Bas et Giraud et nous pénétrons dans le bois du Bizin dont l’ombre va nous permettre d’atteindre le Grand Roc, sommet du jour, sans trop souffrir de la chaleur.
Quelques pas sur la route des éoliennes et nous redescendons prudemment en direction du Mallot. Nous profitons alors d’une belle vue sur le Mayet de Montagne et son lac des Moines. Le chemin descendant nous réserve parfois quelques malplats inverses, mais bon gré mal gré nous atteignons Puyravel après un petit détour par les Effayes.
Nous poursuivons par le Grand Domaine et son « musée » de vieilles voitures (ou plus exactement d’épaves) puis nous dirigeons sur l’Arborétum après un crochet par le château de Chappes.
Tout le monde est bien content de gravir le dernier petit raidillon qui nous ramène aux voitures.
Les premières chaleurs et les 14 km et presque 500 m de dénivelée nous ont un peu fatigués. Les jambes sont lourdes, mais nous sommes tous ravis de cette belle rando.
28° au départ de Vendat tout le monde a chaud, heureusement La Bosse est à 720 m d’altitude et c’est avec un beau soleil et 23° que nous allons randonner ce jour. 26 participants tous très heureux de se retrouver pour ce beau parcours de 12 km et 300 m de dénivelée.
Jean nous invite tout d’abord à le suivre dans le Bois des Menus, nous sommes bien au frais et les moustiques ne sont pas encore réveillés, un vrai bonheur de se balader ainsi dans les sous-bois.
Tout ayant une fin (provisoire), nous voici bientôt au soleil et la marche devient plus difficile. Echassières est en vue avec sa maison de retraite que nous évitons avec soin. Jusqu’à la Croix Lambin, nous profitons encore de la chaleur avant de retrouver la Forêt des Colettes avec plaisir.
Une petite visite à la fontaine de Ste Colette et, contournant Les Sapins, nous rejoignons les anciennes carrières de Kaolin qui ont retrouvé, partiellement encore, leur état naturel primitif.
Un petit parcours un peu sauvage dans le bois et c’est le retour aux voitures.
Fin d’une belle balade avec un temps formidable,
Ouf, après 2 semaines d’annulation de randos à cause du mauvais temps, le soleil est de retour à Lachaux et nous sommes 28 au rendez-vous pour cette sortie que l’on nous annonce assez pentue.
Nous suivons Jean Louis qui nous guide sur le sentier de Moulin Theux légèrement rallongé. Mise en jambes facile car le circuit commence par une descente agréable jusqu’au Moulin Bigay sur le Theux. Le moulin est hélas toujours aussi peu entretenu.
Juste au début de la montée, Daniel, l’œil toujours en éveil, découvre sur le bord du sentier une petite sculpture à moitié envahie par la végétation mais encore en bon état, certainement l’œuvre du sculpteur qui habite au moulin.
La montée de 4 km qui nous attend sera parfois assez dure d’abord dans le bois puis ensuite à découvert afin de bien apprécier le petit vent frais qui sévit encore.
A peine à mi-chemin de cette côte, nous rencontrons un groupe de marcheurs de Châteldon qui effectue le même circuit. Certains vont d’ailleurs reconnaître d’anciennes connaissances de travail et chemin faisant tailler une petite bavette. Un peu plus loin, nos chemins se séparent alors que nous entamons la petite rallonge proposée par Jean Louis.
Mauchamp : point culminant nous entamons la descente sur Pérard puis Moulin Theux. Petite pause pour admirer le site et se désaltérer avant d’attaquer le montée qui va nous ramener à Lachaux que nous atteignons après avoir parcouru les 10,5 km et 470 m de dénivelée (record de dénivelée de l’année à part les moltogommes).
Le beau temps est toujours là quand trois des marcheurs dressent la table pour arroser leur anniversaire. Toujours aussi copieuses et savoureuses ces petites collations de fin de parcours.
Chicoufs ou pas, nous sommes bien 19 au café-gâteaux à Giroux Gare. Il fait –2° et un ciel tout bleu. Denis assisté de Serge et Jean en serre-file va nous faire découvrir son pays.
Dès le départ nous sommes confrontés à un beau sentier très pentu qui va nous réchauffer rapidement jusqu’à Meymont. Le calme total et une vue splendide nous récompensent de nos efforts.
Nous passons Lavest et le Mas avant de redescendre sur la Dore. Petite boisson et petits gâteaux et nous la traversons sur un joli pont couvert. Visite de St Gervais sous Meymont et nous repartons en montée sur Griolles. Là….nous redescendons sur le Minchoux que nous traversons avant…..de remonter sur Tour sur Meymont la pente est solide mais facilement avalée, car au bout il y a le Bistrot de la Halle et un bon repas qui nous y attend.
Ce repas terminé sans précipitation il ne nous reste plus que 7 km de descente pour rejoindre notre point de départ.
Nous en profitons pour admirer le paysage, Pierre sur Haute et le Massif du Sancy (encore un peu enneigé) sont nettement visibles. Toujours le même calme et le même ciel bleu. Après le Garret, Denis frappe à une maison et en revient avec la gardienne de la chapelle St Just dans laquelle nous pouvons donc pénétrer ; Bravo Denis !
Il ne nous reste plus qu’à passer le Pont du Diable sur la Dore avant de rejoindre nos voitures après s’être régalés sur les 18 km et 600 m de dénivelée du jour.
Malgré le beau temps du jour, nous ne sommes que 25 au départ de l’aire des castors de St Quintin (tout près d’Ebreuil). Le vent du nord avec 13° qui nous accueille n’est peut-être pas étranger à la perte d’effectif, mais nous sommes aussi en pleine saison de Chicoufs.
Les coupe-vents bien fermés nous attaquons les 14 km et 260 m de dénivelée du jour d’un bon pas. Nous passons Beaudéduit sans abandonner qui que ce soit. La première pause sera l’occasion de déguster quelques œufs de Pâques, nous ne pouvions manquer cela. Bien requinqués nous pouvons poursuivre notre douce montée avant de franchir la Bilie. Longeant un petit affluent de ce ruisseau nous poursuivons notre effort car la pente devient un peu plus sérieuse. Une petite pause plus loin c’est dégustation de bonbons (bonjour le régime) Le bois de Peyrolles est bientôt traversé.
Après avoir salué la Pierre Levée, nous passons Peyrolles et prenons la direction de l’autoroute, mais rapidement Serge qui nous accompagne aujourd’hui se rend compte que nous n’allons pas assez vite pour ce genre de voie rapide et nous terminons la montée du jour (altitude 540m) par des routes et chemins plus adaptés à notre condition.
La descente se fait ensuite paisiblement si l’on excepte un passage assez raide et surtout caillouteux. L’attention nécessaire à ce passage délicat ne nous empêche toutefois pas d’admirer un splendide paysage avant de repenétrer dans le bois de Peyrolles. A la sortie du bois, nous sommes à nouveau confrontés au passage de la Bilie dont nous devons cette fois emprunter le cours sur quelques mètres. Pas de noyés même pas une chute pour rigoler !
Nous voici de retour à Ebreuil, biens aérés et prêts pour de nouvelles randos.
Beau soleil cet après-midi sur les bords de Sioule. Les 36 marcheurs de ce jour débutent la rando par un passage sur une pelouse fleurie suivie d’une traversée de la rivière par une étroite mais néanmoins solide passerelle. Le passage en zone industrielle bien encadré par Marie Noëlle assistée de Bernard en serre file se fait sans problème. Après les Champs-Elyzées nous attaquons aux Paltras la montée courte mais raide qui nous amène au plateau de Briailles.
La petite pause boisson à l’ombre au sommet est la bienvenue. Petit passage dans les vignes qui commencent à repousser et nous voici dans le bois de Briailles. Un petit kilomètre dans un sous-bois parmi les arbres d’un vert tendre et nous arrivons à l’étang de pêche, ou du moins ce qu’il en reste, car il est à sec. Une île sans eau autour atteste quand même qu’il y eut de l’eau puisqu’un panneau nous informe que la baignade est interdite. Nous contournons une vigne pour arriver au château de Briailles dont le parc abrite un golf. Quelques pas encore et nous arrivons à la chapelle.
Marie Noëlle nous a fait la surprise d’organiser une visite guidée de ce petit monument qui a été tiré de l’oubli par une association. Une table d’orientation nous aide à décrypter la vallée de l’Allier qui s’offre à nos regards au dos de la chapelle.
Il nous reste à franchir un passage en descente un peu difficile et nous voici de retour, après 11 km et 150 m de dénivelée, sur St Pourçain où nous attendent les voitures et surtout un bon arrosage d’anniversaire puisque 3 marcheuses se sont groupées pour nous offrir quelques douceurs et petits verres (avec modération) afin de passer un nouveau cap dans la bonne humeur entre copains.
Belle table dressée à l’ombre sur le bord de la rivière, le temps passe vite et il nous faut quand même rentrer à Vendat.
Ce matin, un peu frisquet pour le café-gâteaux servi avant le départ. Ciel couvert et 7° certains des 24 participants regrettent d’avoir sorti les shorts et d’autre d’avoir oublié les gants. Le Mourgon que nous longeons au départ ajoute un peu d’humidité ce qui fait que nous sommes ravis d’attaquer la côte de la butte Malakoff pour nous réchauffer. A proximité de Larras, tout le monde est enfin réchauffé et quelques vêtements rejoignent les sacs à dos. A la pause rapide des Billots, le ciel s’est éclairci et la température monte ; tout est parfait.
Peu de temps après nous faisons un arrêt à l’étang Bouille (si, si c’est vrai).
Il faut dire qu’aujourd’hui les pauses fréquentes sont plus justifiées par la nécessité d’écouler le rab de gâteaux du matin que par la fatigue. Nous traverserons quelques lieux-dits aux noms charmants, Le Courrier, Les Tiallis, La Broëtte, Le Champ de Loie, Les Bigotiers avant de rejoindre notre point de départ.
Les 14 km et 200 m de dénivelée de cette forte agréable rando terminés, il ne nous reste plus qu’à nous installer au restaurant « le coin du feu » et attendre les copains de moyenne et petite rando pour partager un bon repas.
Tout s’est bien passé comme à l’habitude et vers 15 h 20 les dernières blagues échangées sur le parking, il est temps de penser à rentrer à Vendat.
Décidément la météo est bien changeante ce printemps. Cette semaine c’est par un temps splendide et presque 20° que 36 marcheurs se retrouvent au prieuré de St Germain. Il faut toute l’énergie de Jean Louis pour que la troupe sorte sans encombre et sans incident de la partie citadine du début de rando.
Rapidement nous retrouvons des chemins qui nous permettent de marcher en toute sécurité. Quelques instants plus tard nous traversons puis longeons le Mourgon jusqu’à l’Allier. Un très agréable chemin nous permet de suivre la rive gauche. Nous le quittons à Bourzat pour attaquer une longue côte qui, passant par les Bourses nous amène à un premier « sommet » 80m plus haut. Une agréable descente et nous voici en vue de Laudemarière que nous n’atteindrons pas bifurquant sur la gauche en direction de St Germain notre point de retour. Bien évidemment une petite côte est encore au menu, il faut bien se dégourdir un peu les muscles.
Approchant de la fin de la rando, nous passons devant chez Marie Claude qui, nous accueille pour que les trois anniversaires du jour soient arrosés dans d’excellentes conditions. Petit bouquet de fleurs ramassées et offertes aujourd’hui par Bernard aux jeunes du jour, agapes et bonne humeur habituelles et malgré notre grand nombre nous n’avons manqué de rien.
Il est temps de retourner aux voitures terminant ainsi les 12 km et 190 m de dénivelée de ce programme.
Gageons qu’il existe beaucoup de clubs qui offrent des randos plus sérieuses et plus sportives, mais des clubs avec une telle ambiance…..à voir !
Hier, début du printemps, aujourd’hui nous en doutons vraiment ;il fait froid et quelques gouttes sont déjà tombées. Rien y fait, 25 candidats quand même au départ sur les traces de Bernard. Un peu de plat au menu dès le départ en longeant le stade. Nous attaquons ensuite la première côte du jour. Petit regroupement à la route que nous quittons rapidement pour redescendre doucement jusqu’à la Maillerie. Longeant le Vauziron, nous recevons une petite pluie fine. Nous attaquons LA montée du jour tout d’abord assez raide puis longue, longue jusqu’à Brafumel. Les choses redeviennent plus raisonnables jusqu’à chez Tout Seul avant d’entamer la descente. Arrivés chez Gironde, tout se gâte, la petite pluie qui nous agaçait se transforme en vraie ondée, pile au moment où nous attaquons la forte descente sur Châteldon. Pluie sur les lunettes et chemin devenu glissant : que du bonheur ! Mais comme à l’habitude, tout le monde parviendra à éviter les chutes et nous voici de retour aux voitures bien trempés.
Si l’on excepte la fin du parcours, nous avons malgré tout bénéficié d’un temps acceptable pour parcourir les 12 km et 450 m de dénivelée du jour.
Aujourd’hui, petite collation en l’honneur d’un anniversaire, mais pas d’abri !! Table et victuailles sont regroupées le long de la caserne des pompiers légèrement protégés de la pluie par les avant-toits. Une partie des convives reste sous la pluie, mais les gâteaux sont au sec, c’est bien le principal.
La cérémonie gastronomique, bien arrosée dans tous les sens du terme n’en a pas moins été parfaitement réussie. Comme toujours nous n’arriverons pas à tout déguster et écourtant un peu la douche, nous rentrons vite aux voitures. Il fait 7°, il pleut toujours, mais nous sommes prêts à recommencer la semaine prochaine.
Grand et beau soleil ce jour dès le café gâteaux sur l’aire de camping-cars.
Le large chemin bien propre que nous empruntons sur les traces de Bernard, en montée raisonnable, nous permet rapidement de voir les Puys et même (un peu embrumé) le Sancy. Tour à tour, le château de la Roche, celui de Villemont, le village de Vensat s’offrent à notre regard sous un ciel bleu et une température inespérés en mars.
Nous passons la Villa Lieu-Choisy aux Bourgs et le château de Chancel que nous rejoignons par un petit chemin ombragé en montée. Petite pause et nous repartons en côte sur le plateau. Nous redescendons ensuite sur les Dragons (même pas peur) avant d’admirer le château (encore un) des Bérangers bien restauré, mais avec parc totalement en friches.
C’est vers 11h45, un peu en avance, que nous rejoignons le restaurant Le Grillon. Sagement attablés au soleil sur la terrasse, nous attendons les marcheurs de l’après-midi. La petite salle est bien pleine des 20 convives qui vont bruyamment apprécier le bon repas qui leur est servi.
14h15 c’est reparti. Après un peu de plat, il faut s’attaquer ventre plein à 100 m de dénivelée et comme il fait chaud toutes les vestes tombent. Petite pause photo au château de la Roche et nous poursuivons jusqu’à l’antenne relais qui marque la fin de l’effort. Une dernière petite monté à Bens et nous nous laissons glisser en pente douce jusqu’à Aigueperse pour en avoir terminé avec les 20 km et 490 m de dénivelée de cette splendide Rando.
Le soleil a rendez-vous avec nous, mais il n’est pas là ; ce n’est pas grave cela n’empêche pas les 25 participants du jour de se retrouver aux Baillons pour la rando des jonquilles façon Daniel.
Tout commence donc par une bonne montée douce mais de presque 100 m avant de redescendre par un très bon chemin sur les Gays où le soleil, un peu en retard, nous rejoint enfin. La Côte (qui pour nous est une descente) atteinte nous prenons un sentier moins confortable et plus pentu qui surplombe le ruisseau de Coupe Gorge. Pas de jonquilles en vue !
Nous voici arrivés à la route et au ruisseau ci-dessus nommé que nous franchissons rapidement et bien groupés (on ne sait jamais, avec un tel nom)
La remontée en direction de Contée de Burin se fait par un large chemin largement boueux et bien collant. Nous nous dirigeons sur les Séjournins d’où nous apercevons, pas très loin nos voitures, mais….pas si vite….il faut d’abord descendre au ruisseau des Fonds de Fer (toujours pas de jonquilles) avant de remonter sur le plateau. Ouf un peu de repos et un regard satisfait sur le paysage sont les bienvenus.
Quelques pas encore et à l’orée d’un petit bois : jonquilles en vue !
Ça valait le coup d’attendre, il y en partout et à hauteur d’homme, même pas besoin de se baisser. Chacun fait le plein et quand nous quittons les lieux il en reste encore et encore. Il reste deux cents mètres à parcourir pour retrouver les voitures ; les jolies fleurs ne pâtiront pas d’un long transport en sac à dos.
Encore une belle rando qui nous a permis de faire 10 km et 370 m de dénivelée, de profiter de beaux paysages et de faire une belle cueillette.
Toujours un peu frais et un léger vent mais c’est correct pour débuter mars.
22 marcheurs au départ de la salle des fêtes d’Effiat, un traditionnel café-gâteaux toujours aussi bon et bien servi, avec en plus aujourd’hui, une nappe
Jean nous propose un parcours de 13 km pratiquement plat, c’est ce qui se fait le plus dans la région.
Le chemin est large et le vent frais, c’est donc à bonne allure que nous rejoignons et franchissons le ruisseau des Fontaines de Marchezat. Passant Les Granges, nous nous dirigeons vers le bois St Géat que nous longeons. Le chemin est devenu très gras et il convient de décrotter un peu les chaussures de temps à autres. Plus loin ce sont deux d’entre nous qui s’enfoncent dans le bois…..pour cueillir des jonquilles qu’ils vont gracieusement offrir aux dames.
Fin du bois, nous nous redirigeons vers Effiat passant par La Guelle et contournant le château de Denone. Encore un petit effort et pile à midi nous retrouvons nos voitures pour nous changer et rejoindre le restaurant le cinq mars. Une fois n’est pas coutume, nous sommes les premiers à nous installer.
Tout se passe très bien comme toujours et c’est avec le sourire que Serge va collecter nos écots que nous réglons de bon cœur pour ce bon repas.
Il est temps de rentrer à Vendat
La météo prévoit pour aujourd’hui du vent de la pluie et pas très chaud.
Le résultat est immédiat, nous ne sommes que 12 au départ de l’espace Monzière, les meilleurs c’est sûr !
Jean Louis va nous guider sur un parcours de 13 km pas très pentu mais suffisamment vallonné et varié pour rester très agréable.
Bien protégés du vent nous partons, sans pluie, nous protéger du vent assez fort dans la forêt de Montpensier. Ici tout est calme, il fait bon et nous parvenons sans difficulté à contourner les flaques d’eau qui « égaient » le chemin.
Notre arrivée en terrain découvert à Rilhat, nous offre un ciel bien dégagé, nous laissant voir la chaîne des puys. Le vent semble plus faible et surtout de dos.
Nous voici maintenant engagés sur le chemin de la Dispute, mais sans perdre notre bonne humeur, nous passons ce moment de doute pour descendre sur le Briandet que nous traversons ainsi que l’autoroute (mais oui, par une passerelle). Redescendant sur le ruisseau, nous longeons un grand espace couvert de perce- neiges avant de remonter sur le château de Pouzat. Le sentier qui passe entre le domaine de la Cour et le ruisseau de Conton, encombré d’arbres abattus, ralentit notre avance mais ne nous empêche pas de rejoindre sans encombre notre parking.
Regrettez, les absents, regrettez, les photos témoignent de la belle rando que vous avez manquée. Soyez rassurés, nous vous accepterons quand même avec grand plaisir mardi prochain.
Il fait frais 3° et un peu gris pour le café gâteau que se partagent les 19 candidats à la grande rando de février.
Daniel nous guide sur un circuit dans le haut Sichon autour du rocher St Vincent.
Nous empruntons tout d’abord l’ancienne ligne du tacot, donc en pente assez douce. Ce petit échauffement terminé, nous attaquons la vraie montée. Petite pause vers Fradin où nous arrivons en même temps qu’un attelage de chiens de traîneau qui loge ici. La montée reprend jusqu’au GR3 que nous rejoignons à l’éolienne N° 6. Nous suivons cette ligne de crête jusqu’à la l’éolienne N°1 puis, après avoir dégusté une petite brioche vers 10 h 30, nous poursuivons jusqu’au Roc des Gabelous point culminant du jour 965 m
Nous descendons jusqu’à Beaulouis puis poursuivons sur Lavoine que nous atteignons juste à l’heure du déjeuner. 4 « marcheuses » nous y attendent devant un apéro, mais nous avons vite fait de les rattraper et tous ensemble nous dégustons un bon et copieux repas bien au chaud (surtout celles qui sont juste à côté de la cheminée).
14 h juste, les 23 randonneurs repartent pour Moulin neuf par un sentier qui surplombe le Sichon sur sa rive gauche. Une ou deux côtes dans les bois plus loin nous nous retrouvons à découvert et pouvons admirer le paysage, le ciel étant maintenant suffisamment dégagé.
Nous profitons de belles descentes douces pour rejoindre le Sichon et le viaduc du tacot ; encore une belle rando qui tout au long de ses 20 km et 550 m de dénivelée, nous a fait passer une excellente journée entre copains.
Nous terminons le café gâteau du matin et c’est reparti pour Vendat
Pas de problème météo aujourd’hui, 31 marcheurs se retrouvent sur le parking Lidl pour profiter du beau temps et des 12°.
Le parcours de 11 km en terrain principalement plat que nous propose Marie Noëlle commence cependant par une (petite) côte.
Malgré un panneau qui, dès le début, nous annonce une voie impraticable, il faut reconnaître que nous avons rarement d’aussi bons chemins.
Un passage près de la tuilerie des Salnins et son étang, un peu de route (bien à droite SVP) et passé le château d’eau, nous arrivons aux Bruyères. Nous trouvons bien un vélo, mais cette fois trop de dégâts, Bernard ne tentera pas la réparation et nous continuons donc sur le domaine des Daguenets que nous contournons. Nous longeons à nouveau un bel étang et repartons sur Varennes.
Notre trajet passe par la promenade des Famines, pas très encourageant, mais il en faut plus pour nous décourager. C’est en fait une belle et propre allée qui plus loin, va nous faire contourner le cimetière et longer le Valençon. Nous le traversons deux fois avant de remonter sur Varennes et retrouver le parking.
Peu d’entre nous connaissaient cette ville sous cet angle bien plus agréable que la RN 7.
Comme prévu, il y a 3 anniversaires à arroser.
Le problème c’est que chacun a fait comme s’il était seul ou presque.
Les courageux marcheurs vont bien faire de leur mieux mais ne viendront pas à bout de ces splendides gourmandises. Certains vont en prendre pour les absents, mais il en restera malgré tout.
Merci à nos « anciens » du jour.
La météo n’étant pas très optimiste la veille, Bernard a donc attendu le matin pour confirmer la rando.
Il fait 3° et une petite pluie fine vient un peu contrarier le café gâteau habituel qui est pris à l’abri des parapluies.
Pas très difficile de compter les marcheurs : 15. C’est presque 50% d’absence principalement par peur de la pluie. Les fidèles courageux seront très vite récompensés puisque le temps redevient sec après environ 1/2 heure et va nous permettre de profiter d’une marche tranquille et sans difficulté.
Le chemin est bon, parfois un peu gras, mais sans plus ; absents repentez vous et ne reculez plus jamais devant des intempéries qui ne sont pas plus présentes que vous aujourd’hui.
Dans le bois de la Boucharde, Bernard est tout heureux de trouver un beau vélo, mais malgré des efforts de son équipe d’assistance, la réparation ne s’avérera pas envisageable et c’est bel et bien à pieds qu’il va poursuivre la rando.
La sortie du bois de la Boucharde permet d’atteindre les Blanchereaux puis le Bois Parais avant de traverser le Riduelle. Bien sûr, après un cours d’eau, une montée nous attend jusqu’à Parais. Le temps de boire un peu et nous redescendons sur le ruisseau de la Rama avant de remonter sur le château du même nom. Nous tentons une petite intrusion dans la propriété, mais l’accueil est encore plus froid que le temps et nous battons en retraite. Deux petits kilomètres plus tard nous en avons terminé avec les 10 km du jour et sommes de retour au parking. C’est avec un peu d’avance que nous nous attablons à l’Orée du Bois. Les copains des autres randos, n’ont pas osé marcher mais nous rejoignent pour le banquet de clôture en bons gaulois que nous sommes. Pas de barde, ni de sanglier, mais de la bonne humeur à revendre.
Quel changement de temps ! Nous avons gagné une bonne dizaine de degrés depuis notre sortie verglacée de vendredi. Un beau ciel et 15° c’est ce qui va accompagner les 24 randonneurs du jour au départ du complexe sportif de Bayet.
Cette sortie bien qu’annoncée par Serge avec peu de dénivelée commence, juste après le passage du bras de la Sioule, par une montée sévère mais courte qui nous cueille à froid. Cela valait bien la peine car au pied de l’église St Marcel nous avons une belle vue panoramique jusqu’à la montagne Bourbonnaise.
La rando va se poursuivre globalement sans difficulté particulière, si ce n’est un problème que l’on avait oublié ces derniers temps, il faut se découvrir pour ne pas transpirer. Passé la première pause, nous avons la surprise de rencontrer, comme à Chassignol, un groupe de 7 chevreuils qui eux aussi vont poser pour la photo avant de nous quitter, c’est sympa cette nouvelle habitude !
Contournant Nérignet, nous surplombons la Bouble et rencontrons le groupe de marche de la RS Bellerive qui fait un parcours similaire en sens inverse.
Nous parvenons à traverser Les Villards et après un coup d’œil sur le château de Martilly, nous attaquons la longue ligne droite qui va nous ramener à nos voitures.
Les 13 km et 130m de dénivelée du jour nous ont une nouvelle fois permis de passer un gai, sain et agréable après-midi entre copains…..
Ce matin le redoux annoncé semble arrivé avec 7° à Vendat, mais l’arrivée sur Contigny se fait avec 0° et une route parfaitement verglacée.
Sur la place du village verglacée elle aussi, la table est déjà dressée, café et brioche auxquelles viennent s’ajouter 2 jolis cakes. Bien réchauffés les 14 marcheurs quittent la table accueillante pour partir affronter les routes et chemins glacés. Avec prudence mais sans traîner, nous dépassons le château du Riau avant de traverser la nationale à l’étang Bazin par un tunnel pas vraiment à la taille des plus grands (ni des petits non plus d’ailleurs). Un petit broyé du poitou vient nous redonner du courage au milieu de la matinée. Vaux d’en Bas et d’en Haut passés nous atteignons Verneuil où nous allons déjeuner. Aucune chute à déplorer et nous sommes donc en forme (et à l’heure) pour déguster un excellent vin chaud.
Au repas notre accompagnateur, nous offre l’apéritif puisqu’il a décidé de prendre un peu d’âge ces jours-ci. Les plaisanteries et les rires sont bien sûr de la partie, mais voici 14h et il faut repartir, il reste du chemin à faire.
Deux absents du matin nous ayant rejoints ce sont 16 randonneurs qui repartent sur des chemins dégelés mais devenus un peu gras. Le passage pont sur le Douzenan avant de monter à La Racherie sera la dernière patinoire du jour. Une bonne montée, puis plus tard une descente un peu raide et glissante et nous voici de retour aux voitures. La table est vite remise et c’est un bon chocolat qui est dégusté en accompagnement les gâteaux que nous n’avions évidemment pas réussi à terminer ce matin.
Les 19 km et 400m de dénivelée parcourus ce jour auraient dû contribuer à nous maintenir en forme physique, mais ….avec les dégustations diverses prises tout au long de la journée ……c’est à voir !!! Quoi qu’il en soit, nous avons passé une splendide journée
Toujours bien froid (-3°) et toujours pas de soleil ; Ce n’est pas bien grave puisque 29 marcheurs sont présents à l’école de Chassignol pour « goûter » les 13 km et 260 m de dénivelée qui nous sont proposés aujourd’hui.
Nous attaquons de suite par un petit tour hors des chemins battus dans le bois de Celzat. Pas sûr qu’un seul d’entre nous soit capable de refaire exactement le même trajet tant les changements de directions sont nombreux, mais il s’agit d’un parcours ORIGINAL.
Au bout d’une heure de marche, nous faisons une rencontre splendide : 7 chevreuils sont à une centaine de mètres à peine de nous et ils prennent leur temps pour nous surveiller avant de décider de s’enfuir à toute allure.
Un beau moment que quelques photos vont immortaliser.
Un petit passage sur la route de Varennes, bien en file indienne sur le bas-côté, et nous repartons dans la campagne. Après les Champs Moreaux, une bonne montée nous attend histoire de nous réchauffer. Notre accompagnateur en profite pour nous confirmer qu’il nous en reste encore deux comme ça qui nous attendent.
La deuxième côte avalée, une partie (petite) de la troupe profite de la proposition de notre animateur magnanime pour accepter de poursuivre le trajet sans descendre faire un petit tour vers le Rebusset économisant un peu les mollets affaiblis par le froid. Dommage, il est beau ce ruisseau à moitié gelé !!!!
Remontée un peu raide sur le château d’eau des Graviers et il ne reste plus qu’un peu de plat avant de rejoindre les voitures et les copines adeptes du raccourci.
Le temps est splendide, grand soleil mais très froid (-2°) avec une petite bise, mais cela n’a pas découragé les 28 super randonneurs qui, sous la conduite de Jean Louis quittent l’église de Serbannes en direction de La Pause avant de pénétrer dans la forêt de Montpensier qui nous abrite du vent. Il reste un peu de neige pour le régal des yeux, mais pas assez pour nous ralentir ce qui nous aide à nous réchauffer. Mais la sortie du bois est proche et la traversée des Charmettes fait refermer les quelques cols entre ouverts. Contournant le Jaunet, traversant le ruisseau du Virelet puis le Béron, nous prenons un chemin bien face au vent dominant sur 2 bons km. L’allure s’accélère et les conversations se font rares, il nous tarde d’arriver au Baraban pour changer de cap en direction du château de Rilhat par un chemin très gras mais devenu praticable grâce au gel.
Regroupement face au golf et nous rentrons dans la forêt pour retrouver de bons chemins abrités. Serbannes est vite atteint et au parking, nouvel anniversaire à arroser, comme s’il faisait bon, mais un peu plus vite peut être, les doigts engourdis par le froid ont du mal à saisir les délicieux gâteaux.
Pas une glissade sur la neige et la glace présente sur le chemin, un décor magnifique…..une SPLENDIDE rando.
Aujourd’hui nouvelle rando locale, mais pour tout une cause très valable puisqu’il nous faut être présents en fin de parcours vers 16 h30 à la salle polyvalente de St Rémy pour partager comme chaque année la galette des rois. A cette occasion les trois marches se donnent rendez-vous pour un moment d’échange comme c’est le cas en chaque début de mois.
13h15 est l’heure de départ choisie par Jean pour être tranquillement dans les temps.
Le groupe de 22 participants quitte St Rémy sous un ciel mitigé et assez frais. Nous rejoignons la Boire des Carrés que nous contournons puis longeons l’Allier. Pour l’instant nous sommes à l’abri du vent, mais dès que nous remontons sur le Colombier une petite bise glaciale nous fait presser le pas. Passé l’entrée du château de Gerbe, c’est une bonne pluie bien froide en plus du vent qui va nous accompagner jusqu’aux Rabrunains, mettant les parapluies un peu légers à rude épreuve. Mais voici la forêt de Marcenat et plus précisément le Champ de la Forêt qui nous abrite et comme la pluie cesse également c’est le bonheur retrouvé.
Il ne reste plus qu’à terminer ce parcours de 12 km et 100 m de dénivelée et rejoindre St Rémy où nous attendent les copains des autres marches qui ont dressé les tables. Un merci particulier à Christine et Serge qui, ont tenu à faire et apporter les délicieuses galettes.
La dégustation des galettes et boissons terminées, le nettoyage de la salle accompli ; il ne nous reste plus qu’à nous quitter.
Cette première rando 2017 se déroulant à Vendat, c’est donc sur le parking de la salle polyvalente qu’à lieu le traditionnel et sympathique échange de Vœux.
Le temps est gris et il fait à peu près 1°, il faut donc un peu s’emmitoufler au départ. 22 participants, quand même, vont suivre Jean sur les chemins faciles de Vendat.
Il nous faut bien quelques kilomètres avant de nous réchauffer et profiter de cette marche que le temps gris vient attrister. Les chemins un peu inondés par endroit nous ont étés évités par un petit détour en sous-bois et plus tard nous rencontrons UNE Vendatoise et ses chiens, seule âme que nous avons croisée ce jour, un petit brin de causette et c’est reparti.
Rien de bien marquant sur ce parcours de reprise, mais une chose est sûre, le moral des participants est au beau fixe puisqu’ils s’échangent encore des recettes.
Une petite côte pour terminer cette rando de 11 km et nous voici de retour au point de départ pour les « au revoir »
Vivement mardi prochain ! et n’oubliez pas, à la fin de la rando : dégustation de galettes des rois arrosées (avec modération) de cidre artisanal et rosé je sais que vous serez nombreux.